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L’obscurité du salon s’étirait en volutes d’ombre, juste percée par la jour des bougies disposées çà et là sur les tableaux immémoriaux. Marianne, assise postérieur sa table recouverte de velours, sentait encore l’écho de la dernière consultation flotter dans l’air, tel un murmure invisible. La jolie voyance avait ce copulation spécial de noter les villes, de négocier un coup subtile qui s’effaçait peu à pointe, comme le silence reprenait possession de l’espace. Le chat noyer, généreusement posté collé à la fenêtre, observait la nuit d’un regard perçant. Il ne bougeait pas, notamment s’il guettait déjà le prochain visiteur qui franchirait la porte. Il savait, tout par exemple Marianne, que la voyance gratuite en ligne 24h/24 permettait d’accompagner les âmes en quête de explications sans cesse quotidiens et de l'obscurité, mais ici, dans cette devise baignée de psyché, les prédictions prenaient une toute autre profondeur. 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Il ne semblait ni nerveux ni bâclé, mais quelque chose dans son regard trahissait une attente contenue, un envie de comprendre ce qu’il refusait encore d’admettre. Elle attrapa son divertissement de cartes et le battit doucement, laissant l’énergie de la période inspirer ses déplacements. L’homme suivait chaque individu de ses déplacements avec une vitesse silencieuse, comme par exemple s’il redoutait et espérait à l'unisson ce que les cartes allaient lui révéler. La la première carte fut retournée. Une rue coupée par un mur de brume, avec lequel on ne voyait ni la fin ni le top départ. Un personnalisation d’incertitude, d’un chemin qui semblait bloqué, mais qui néanmoins existait. L’homme ne bougea pas, mais Marianne sentit son mentalité rapetisser imperceptiblement. Elle tira la second carte. Une balance en équilibre précaire, sur le marche de renverser d’un côté ou de l’autre. Un choix pendants, une loi que l’on repousse, mais qui finit très par s’imposer d’elle-même. 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